« À
l’époque où j’ai fait mes études en endocrinologie, en 1997, le diabète de type 2 était une boîte noire, tant on connaissait peu de choses à ce sujet,
lance le Dr André Carpentier, titulaire d’une chaire de recherche sur
cette maladie et directeur du Réseau de recherche en santé
cardiométabolique, diabète et obésité.
On parle de “risques
cardiométaboliques”, c’est-à-dire de facteurs qui déterminent un risque
de maladie cardiaque, mais également métabolique. »