Ceci sont des propos personnels n'impliquant en rien mes employeurs et collègues. J'assume l'entière responsabilité de mes propos.
En réponse à A. Duplantie, inf. Ms retraitée, que je cite :
«Je suis outrée.
Je trouve que c'et une interprétation complètement erronée que vous faites des
propos de la Présidente de l'OIIQ. Je trouve également que vous n'avez pas de
vision pour le futur de la profession alors que partout ailleurs l'accès à la
profession infirmière se fait par la voie universitaire.
Vous êtes nées pour un petit pain!!!!
J'invite les infirmières qui appuient la proposition de l'OIIQ de sortir dans la rue toutes de blanc vêtue.
Point à la ligne. »
Vous êtes nées pour un petit pain!!!!
J'invite les infirmières qui appuient la proposition de l'OIIQ de sortir dans la rue toutes de blanc vêtue.
Point à la ligne. »
Ne m’arrêteront pas la bassesse de vos insultes et
diminution publique à mon, et notre égard - égo (bien que je sois bachelière,
Dec-Bac; et non MSc, Religieuse-Université, car voilà la réelle formation que
nos plus vieilles détiennent, et ce avec une seule main étant parfois trop pour
comptabiliser vos années d' "EXPERTISE" auprès des patients, dans le
milieu, la vraie vie, le terrain, le champ de bataille, au front du quotidien
réalité-show, pour le public et les non-participants de trop superflues
instances administratives, mais le réalité-drame des patients et infirmières
réelles). Je vous en prie, ne nous tentez pas d'exiger aussi de vous des excuses.
Ce qui est magnifique du corps humain est sa capacité
grandiose et parfois même incompréhensible à faire face à l'adversité, grâce à
chacun de ses organes, ayant chacun leurs fonctions respectives, mais étant
chacun interdépendants. Avec son surprenant système de défense et de
compensation, notre corps réussi souvent à combattre l'intolérable, que ce soit
l'attaque d'un virus ou la réadaptation impensable et inenvisageable d'un
membre, ou tout autre envahissement indésirable.
Ce qui serait souhaitable du
corps professionnel, est qu'il reconnaissance la fonction, l'interdépendance et
la nécessité vitale de collaboration entre professionnelles. Ça, c'est une vision
d'avenir prometteuse. Vous croyez qu'en divisant vous allez mieux régner ? De
plus vous supposez que nous sommes si peu éduquées pour s'en apercevoir ?
N'est-ce pas un peu naïf de votre part ? Au lieu d'un corps solide et prêt à
affronter, vous me rendez l'image d’une maladie auto-immune, d'un cancer. Qui
après maintes tentatives de traitements, ne pourra se guérir que par radiation.
ISABELLE KANE, inf.
BSc. Infirmière clinicienne, enseignante, collaboratrice à la santé québécoise,
citoyenne, humaine, engagée.